C'est quand même fort.
Je devais trouver un cadeau aujourd'hui. Une thématique simple: le café. Pas une poche de café plate là, quelque chose, une cafetière, une tasse avec Colargol dessus, une photo de Michel Dumont qui garnotte des grains non torréfiés par terre avec sa grosse règle de bois.
Je me rends donc... au Marché Jean-Talon. J'adore le Marché. Mais pour y trouver un truc café original hein, on repassera. J'aurais pu aller dans une confiserie, une maroquinerie ou me faire dessiner la face en caricature au Vieux-Port, ça aurait fait pareil.
D'un coup, l'éclair me frappe: Saint-Laurent, la petite Italie. Je peux pas trouver plus "café" que la petite Italie, à part me payer un billet pour le Brésil et sodomiser l'âne de Juan Valdez pendant que son maître récolte à grosses gouttes de sueur les grains de café que Nabob snobera en les garnottant sur le plancher.
Bin j'ai fait toute la petite Italie, et je suis revenu bredouille à la maison. Ah, pas qu'y'avait rien, j'en ai eu des trucs dans les mains. Ah, trop ceci, trop cela, poutepoutepoute.
Les cadeaux, ça devrait être aboli. Voilà c'est dit. Au moins, Juan était réceptif, il m'a frotté le crâne. Mais il sentait le chameau, ce salaud. Pauvre âne cocu.
3 commentaires:
T'as raison, les cadeaux devrait être aboli, moi on me donne toujours des grille-pain anyway.
hahahahahaha
Nabob! La grosse règle de bois! Les pubs de Nabob ! 1989! Merci ! Merci !
NABOB N'EN VEUX PÂÂÂÂÂÂÂS
St-Laurent, pfff. St-Denis oui. Aux Deux Marie ils ont d'excellents cafés par exemple. Uniques, torréifiés sur place. Si jamais tu veux me faire un cadeau de café, vas là. :)
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