Ce condescendant de Gaspard m'ayant clairement indiqué que je suis incapable d'écrire autre chose que ces foutues Chroniques de l'ascenseur, j'ai décidé de relever ce "défi" et de lui démontrer blanc sale sur fond bleu que j'ai pas besoin de lui pour jouer à l'intéressant.
Voici donc les Chroniques de l'escalier mobile. Vous allez voir, on va vivre du gros délire, l'apothéose du talent humainement possible. Pensez Camus.
Allez on se lance.
Ce matin, fait beau, les oiseaux cui-cui, les défécations de toutous dégèlent et ornent maintenant mes Converse 'british'. C'est d'un pas assuré - et bruni par tout ce que la nature a de beau - que je m'engouffre dans le métro Crémazie. Non j'en veux pas de 24 heures madame.
Donc j'entre, je paie mon passage et je suis rendu en bas. Ah non ça a été trop vite.
J'étais donc dans l'escalier mobile et...
De mémoire, je pense qu'il y avait une madagne avant moi avec un sac d'épicerie. Ou un sac à dos? C'était peut-être un sac d'épicerie en forme de dos remarquez bien, d'où confusion.
Bref, elle avait un sac à dos qui... qui était là.
Ding!
Ah non ça marche pas, ça fait pas ding! pantoute un escalier mobile. Ça fait tchak tchak tchak quand ça chie et que ça menace d'arrêter mais c'est tout.
Donc j'étais dans l'escalier et... bin c'est pas mal ça.
Eh bien c'est pas tout ça hein, j'ai des choses à faire dans la maison. Je pensais repeinturer ou alors changer mes cadrages de portes de place.
Bon ok, OK OK c'était une mauvaise idée l'escalier mobile, je vais trouver autre chose. Ça veut pas dire que chose a gagné là, ça ne prouve absolument rien.
Pffffff
1 commentaire:
Moi là... tsé là... J'ai pris le métro la semaine passée, pis y'avait un monsieur qui fouillait les poubelles. Pis y traînait son stock dans un sac de Steinberg.
Le monsieur, là, je l'ai trouvé pas mal bon de conserver des sacs de Steinberg.
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