17 novembre 2008

Gaston Miron n'est pas mort en vain

Que nenni!, un de nos plus beaux pouêtes n'est pas mort en vain: sa prose, sa plume, sa vivacité d'esprit, ses mots calculés au quart de tour ont trouvé écho récemment dans le verbe sportif.

Oui oui!

Pour preuve, cet extrait du Zournal que l'ami Antoine m'a mis à la puce de, genre.



Oui, comme le léopard le fait dans la savane africaine, toé!

René Lecavalier va se retourner dans sa tombe, lui qui appréciait tant fait monter les joueurs sur les marches de l'Olympe dans une attaque à trois bien sentie.

À quand un merveilleux paragraphe à la Lamartine?

Un soir, t'en souvient-il ? nous patinions en silence alors que Laraque, courroucé par une première période désolante, laissa tomber les gants et se mit à démolir le faciès du 4e centre de Bostonne avec la hargne d'un jeune hooligan en manque de boisson.





3 commentaires:

Anonyme a dit...

Des larmes d'orgueil mouillèrent les yeux de Jacques Laperrière, qui d'un geste du poignet preste et discret, retira son support athlétique pour en recueillir la sueur et éponger le visage de l'éphèbe officiant comme juge de ligne substitut.

El procrastinator a dit...

ô toi, le Roy du Casseau! Ton trente-trois accroché là-haut.

Épargne-nous de ton ire et du double-échec de ton fils.

Ta femme nue aux bras de Schneider, ta déchéance!

Qu'importe! Bertrand chante tes louanges

Anonyme a dit...

C'est en revenant de Rigaud
Avec Jean-Jacques Daigneault.